Qui suis-je ?

Aurore Lemire, artisane céramiste

Après 8 ans passés dans les secteurs de la restauration et l’organisation d’événements pour les entreprises, en 2021 je fais le choix d’un métier artisanal : céramiste.

Façonner une matière brute, fabriquer des objets du quotidien ou décoratifs et faire découvrir les bienfaits de la manipulation de la terre sont mes motivations quotidiennes.

Outre la fabrication de pièces, cette aventure m’offre la possibilité de transmettre et partager mon métier lors des cours et ateliers que j’anime à Paris et à Bois-Colombes.

J’ai suivi une formation professionnelle à l’École des Arts et Techniques Céramiques sous la Direction de Christophe Bonnard. J’ai obtenu mon CAP Tournage en juin 2022.

La mirette est un outil de potier qui sert à enlever l’excédent de terre. C’est aussi le surnom donné aux filles de ma famille.

La rencontre avec la terre

Au cours de ma découverte de la céramique, je prends rapidement conscience de l’aspect thérapeutique qu’offre cette pratique.

Le rapport au temps, les bienfaits de la lenteur des gestes, la joie et l’apaisement que procurent la manipulation de la terre.

Je fabrique des pièces utilitaires : tasses, bols, pichets, assiettes, théières, vases que je façonne en grès ou en porcelaine. Je vous les proposerai régulièrement à la vente ici. Toutes les pièces sont fabriquées à la main au tour de potier ou modelées puis garnies, décorées, émaillées et cuites dans mon atelier.

J’ai installé mon premier atelier de production en février 2022 en région parisienne, à Bois-Colombes (92) et le second à l’adresse actuelle : 4 rue Jean Brunet. Si vous souhaitez me rendre visite et découvrir la production, je vous accueillerai avec plaisir, prenons rendez-vous via l’onglet CONTACT.

Un autre rapport au temps

La fabrication d’une pièce peut durer plusieurs semaines, voire mois. Pour être cuite, l’argile nécessite un séchage complet.

La fabrication sur le tour de potier, le façonnage, le décor, le garnissage, l’émaillage sont une succession de gestes précis qui doivent être réalisés au moment opportun, lorsque la terre est à bonne consistance.

La pièce est cuite deux fois, la première cuisson est appelée cuisson “dégourdie” ou “biscuit”, la deuxième est la cuisson d'’émail (1250 degrés).